Ainsi Va la Vie… épisode n°278… Mes oublis !!!
J’ai l’humeur a l’humour…alors je vais vous la faire cool de chez cool cette petite chronique.
Attention danger, Il me semble que dès demain je crois, les candidats n’ont plus vraiment le droit de causer politique dans le poste, élection présidentielle oblige… Ouf ! Après le covid, ça va nous faire des vacances. Je ne sais pas si par contre j’ai encore le droit de vous écrire ce que j’en pense ? Hein ?... D’après vous ? Moi j’aimais la politique d’avant ; quand Yves Mourousi s’assaillait sur un coin de son bureau pour s’adresser à François Mitterrand, quand Paul Amar offrait des gants de boxe à Bernard Tapie et Jean Marie Le Pen avant un débat, quand Georges Marchais faisait un show à vous paralyser les zygomatiques… Comme dirait Delon c’était avant ! Mais non je ne suis pas nostalgique, pas du tout, enfin pas trop. Au fait, saviez-vous que Sophie, la fille d’Yves Mourousi, en plus d’avoir été une excellente gymnaste, et je sais de quoi je parle, est devenue comédienne ? Ben comme ça, ma chronique vous aura au moins appris quelque chose.
Tiens en parlant de Mourousi les effluves d’un vieux souvenir viennent de traverser ma mémoire. J’avais organisé, sous l’égide de mon journal et de la radio RMP, et oui je dirigeais un journal, petit journal mais journal quand même, une fabuleuse soirée au Krypton à Aix en Provence pour y présenter une trentaine de nouveaux talents de la chanson et c’est Yves qui présentait le spectacle… Beau et lointain souvenir dont malheureusement je n’ai aucune photo, ah si j’en ai retrouvé une. Par contre, autre beau souvenir illustré par cette photo d’Yves Mourousi avec Evelyne Dress prise durant le tournage de l’émission « Paris By Night »… dont Yves était le producteur.
Ha ! Pourquoi ce titre « Mes oublis? ». En premier parce que je n’ai pas trouvé mieux, c’est déjà une raison sincère non ? Et en second parce que l’autre samedi, dans ma chronique n°277 sur l’Autre Festival, ce merveilleux salon du livre d’Avignon, je n’ai pas pu vous parler de tout le monde, à mon grand regret, faute de quoi ; ce n’aurait plus été une chronique mais un vrai bouquin quelque peu indigeste. Remarquez, ça m’arrange aussi, parce que comme je ne dis jamais, ou très rarement, du mal, préférant m’abstenir que de déblatérer, si j’avais du parler de tous !... et dire la vérité ou ma vérité, je crois que ça n’aurait pas vraiment plu à certains. Alors quand à blesser je préfère ignorer.
Premier oubli : Géraldine Maillet, j’étais en face d’elle, je l’ai même photographiée, et sans l’avoir lu, faute avouée à moitié pardonnée, j’avais entendu parler, en bien en très bien d’ailleurs, de son livre : « Fran et Ava » Un beau roman d’amour… Alors quand on a une si jolie plume, un physique à faire pâlir de jalousie la majorité de ses congénères, et qu’en plus on est pétrie de gentillesse, d’attentions et de bienveillance… Il n’est qu’à voir son petit mot en direct sur C8 à l’égard de Valérie Mirarchi. Des mots lancés comme un geste princier. Bravo ! Il fallait que je répare impérativement cet oubli ! Mon arrière-grand-mère disait : « Vaut mieux une reprise mal faite qu’un trou bien fait ». J’espère que ma couture un peu maladroite dissimulera bien l’accro involontaire.
Parmi les invités de ce festival du livre, Il y avait aussi Lulu Tinfena, auteur qui habite dans ma région en plus et qui écrit sur : « Les anges » vaste sujet qu’elle maitrise à la perfection et sait en parler avec cœur et passion. Elle aussi, je l’avais oubliée…
D’ailleurs sur les anges j’en connais un petit rayon. D’abord le tout petit joufflu avec son arc ! Ca fait vach’ment mal ses flèches à répétition. Et je ne sais pas pour vous, mais en essayant de les extraire, elles se brisent et te laissant des plaies profondes que personne d’autre que toi ne peut voir. Et quand tu crois que c’est enfin guéri, avec le temps qui passe, les cicatrices sont toujours douloureuses… Et puis des anges j’en ai connu quelques-uns mais le « uns » est un peu faux, parce que la légende qui dit que les anges n’ont pas de sexe est vraiment une légende… les miens d’anges avaient de superbes courbes et un grain de peau à la finesse de pétales de roses… sans ambiguïté.
Autre chose avant que j’oublie… Ce matin une très belle affiche ornait la vitrine du kiosque à journaux du bas du Cours Mirabeau d’Aix en Provence avec, et c’est surtout ça qui m’a attiré, le visage de Véronique Delclos. Waouh ! Quel charme ! Je craque, je craquais et je craquerai… Quel est l’abruti qui a dit que les femmes de plus de 50 ans… Bref et j’en remets un couche, sincèrement qu’est-ce qu’elle est jolie ma copine qui en plus navigue plutôt dans une soixantaine éblouissante. Franchement y’a pas photo ! Ou si justement y’en a une, heureusement parce qu’on habite à un vol de mouettes et on ne se voit pas souvent. Bravo Véronique.
Juste une précision, pas un oubli : Dans la même chronique de la semaine dernière sur le Salon d’Avignon, Je vous ai parlé aussi d’Anne Parillaud. Comme beaucoup d’entre vous je me souviens de son incarnation de Nikita qui lui a valu récompenses et honneurs bien mérités. Mais au-delà de son talent et de ce physique que le temps n’égratigne même pas, il y a sa voix. Ce timbre, cette empreinte vocale si particulière.
Des couleurs vocales aussi personnelles qui ne dépendent pas insensiblement d’un accent étranger comme Monica Bellucci ou Romy Schneider j’en connais peu, à mon oreille en tout cas. Jeanne Moreau, Brigitte Bardot, Simone Signoret sur le tard, Marlene Jobert, Elisa Servier, Fanny Ardant et puis Anne Parillaud. J’en oublie ? Certainement. Sauf que beaucoup ont une voix caractéristique à ne pas confondre avec une empreinte vocale. Comme Fanny Ardant, avec Anne Parillaud quand on écoute la musicalité souple, entre velours et satin de sa voix, qui peut devenir cristal en montant dans la gamme on n’est pas surpris, juste envouté.
Et puisqu’on est dans les souvenirs et que je viens de la citer, je ne connais pas personnellement Fanny Ardent. Je l’ai pourtant croisée lors d’un festival. Si elle a cette voix reconnaissable entre toutes elle a aussi un regard, un incroyable regard assisté d’un sourire qui sous-entend. Mais l’écriture de ces deux compléments est-elle clairement lisible ? Bref ce jour-là, on ne s’est même pas parlé. Et elle ne se souvient certainement pas de ce jeune homme qu’elle avait fusillé des yeux. C’était dans une autre vie, y’a prescription, une autre fois je vous révélerai peut-être ce qu’elle a murmuré à l’oreille de sa copine de table…
Artistiquement, comme dans la vie courante, j’accorde une importance primordiale à la couleur d’une voix. Bien souvent, simplement au téléphone rien qu’à travers la voix je peux définir une personne. Et incroyable… je me trompe rarement. A l’inverse il m’est arrivé de découvrir une voix alors que je connaissais déjà le visage… et rien n’est plus fascinant que lorsque la voix colle à l’image.
Ha ! Un p’tit truc sympa qui m’a fait plaisir ; une petite fée, c’est le surnom que je donne à ces dévouées bénévoles attachées à un ou plusieurs auteurs durant le salon, Patricia en l’occurrence, m’a fait savoir que :
Astrid (Veillon) a beaucoup apprécié ta chronique, que je me suis empressée de lui faire lire à la suite de sa publication. ‘‘J’adore sa plume'' m'a-t-elle dit...
Et bien tant mieux parce que moi aussi j’adore la sienne ! Je ne la connaissais pas, en chair et en sourire la si sympathique Astrid… je ne pourrais plus le dire mais surtout notre rencontre et nos petits échanges furent un moment de bonheur.
D’ailleurs en parlant d’écriture, faut que je me remette à bosser sur mon roman… mais en ce moment alors qu’il ne me reste qu’une cinquantaine de pages à couvrir avant de franchir la ligne d’arrivée j’ai un p’tit coup de mou… un p’tit passage à vide. J’ai la tête ailleurs et je n’arrive pas à la remettre exactement entre mes épaules comme écrit sur la notice. Ne vous inquiétez pas ça va revenir comme c’est parti j’ai l’habitude sauf que là… ça dure un peu.
Bon, je le sais, j'ai d’autres oublis que j’ai oubliés… mais pour l’instant on en reste là
Comment ça j’ai oublié quelqu’un ?... Mais non je n’ai pas oublié… de vous parler de… c’était juste pas prévu cette semaine. En plus elle travaille sur son prochain… et je ne suis même pas sensé en savoir quoi que ce soit… Meuh non je ne vous cache rien !... Meuh non !...
Ainsi Va la vie…
Williams Franceschi
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