Articles et chroniques

C’est le printemps ! Après la marée du siècle  on attend l’éclipse du siècle et dans le sud de la France où le ciel est bas lourd et pesant, je me dis que  ce week-end, j’aurais dû prévoir de  me téléporter sur Paris.

Samedi je serais  allé   au salon du livre porte de Versailles  retrouver mon ami  Jean-Philippe Arrou-Vignod qui dédicacera son dernier roman Minsy Pocket et les en les enfants sans nom de 11h à 13h Stand Gallimard et dont ce matin, Laurent  Marsick sur RTL en faisait  de telles l’éloges qu’il vous donnait envie de vous précipiter chez le premier libraire pour assouvir ce besoin de lecture qu’il venait de susciter.

Et j’en aurais profité pour bifurquer vers le stand de Flammarion  afin d’y  rencontrer Cassandra Odonnel  cachée derrière les piles de son dernier  ouvrage : Malenfer et la source magique car elle aussi a la meme heure poserait sa signature au gré des prénoms sur la première page de son ouvrage.

Je vous cite juste ces deux pour ne pas faire de jaloux, mais évidemment le salon est un fantastique évènement incontournable pour certains, un peu loin pour d’autres, fatiguant pour la majorité…

Et avant de partir, passage obligé par le Podium de TELE MELODIE pour vérifier de visu que Sabine Paturel dont je vous parle copieusement depuis un moment assure bien le service après-vente  de son  nouveau single "JE ME FOUS DE TOUT".  Il faut dire que j’ai juré et en plus je l’ai écrit,  de manger mon chapeau si ça ne marchait pas… et elle m’a promis qu’elle se battrait bec et ongles pour m’éviter l’indigestion. Pour l’instant ça a l’air, comme prévu, de faire un carton, mon chapeau est rassuré.  
Vente et dédicace du single collector sur place samedi de(16h/18h)

Ensuite, comme à chaque fois, Je me serais peut-être attardé sur les bords de seine à hauteur du quai des Saint-Père  après avoir traversé le quartier latin comme en pèlerinage, avant de passer un moment avec mon amie Sophie et refaire le monde en quelques phrases sur le pont de sa péniche.

Mais  samedi, si j’avais été sur la cote je serais allé écouter Magalie Vaé chanter à Cannes au café-théâtre : Le Suquet  et découvrir Jérémy Dulieu en première partie. 

Et en passant par St Raphael j’aurais fait une halte chez Nathalie Véra.

Mais pour l’instant je suis en Provence derrière mon écran, je rédige ce petit article et je pense à une chanson que je viens de terminer pour Cyril Alexy, qui sonne bien et que nous orchestrerons en partie demain après-midi ce qui m’interdit tous déplacements … et aux nouvelles aventures d’Emilie.

 Les nouvelles aventures d’Emilie

C’est bien sûr d’Emilie Bonnet dont il s’agit. Ce petit bout de femme qui dégage une énergie de géante et fonce comme un bulldozer. Après la sortie de son dernier album, « Laisse entrer la lumière » qu’elle vient de traduire en anglais et de son livre autobiographique, elle a repris deux titres de l’album  de Jean-Louis Barjavel en prémices à son futur album : « 2 be or not 2 be » et  « Je donne »  Puis elle s’est attelée ; de l’écriture jusqu’à la production, a une chanson pour enfants LE YAKKA   qui sera à l’ordre du jour dans plusieurs écoles maternelles dans les jours avenirs et que vous pourrez découvrir en cliquant sur le lien ci-joint. Et enfin,  elle vient d’écrire avec Michel Esposito une très jolie chanson pour Cyril Alexy « j’ai épousé un ange » et je suis sûr que j’en oublie… Mais promis je vous tiendrais au courant des prochaines aventures d’Emilie, au fur et à mesure, si notre Speedy Gonzales de la chanson française ne se déplace pas mille fois plus vite que ma plume.    

LE YAKKA  https://youtu.be/Id8xZ5Lxsg

2 be or not 2 be http://emiliebonnet.wix.com/emilie-bonnet

J’ai épousé un ange : http://dai.ly/x2ibk8j

Par contre, ce n’est qu’en fin de semaine prochaine, mais notez bien le rendez-vous, si vous êtes sur Paris, le concert de Rodéo Drive avec Brigitte Chamarande le 28 mars  à la Flèche d’or. Je reprends quelques lignes  que j’avais publiées il  y a peu, pour ceux qui ne suivent pas...  Mieux que du bon Whisky, le groupe fête ses 25 ans d’Age et c’est un grand cru. Du vrai rock’n roll pur jus comme je l’aime avec six musiciens qui sont nés avec du blues dans la peau et des cordes de guitare greffées au bout des doigts et surtout une chanteuse rare… comme j’aimerais en entendre plus souvent mais ça me parait difficile parce que je la crois assez unique.

Elle a tout ; la voix, la présence, l'expèrience, evidement... le charme et une sincérité jusqu’au bout des sourires…. On en reparle cette semaine, mais le mieux serait  de réserver votre soirée du samedi 28 et d’avoir une rock’n roll attitude.

Williams Franceschi