Ainsi Va la vie… épisode n° 229... Ma Dernière Chronique !
Sourire, tendresse, douceur, désir, amour… ! Je voulais débuter cette dernière chronique de l’année par des mots, quelques mots parmi tant d’autres qui éclairent ma raison de vivre quand tout va bien et la réchauffent quand tout va… moins bien.
Plus que quelques jours avant Noël !... Waouh ! Vous avez envoyé votre lettre ou vous pensez que le gentil barbu en habit rouge en plus d’être généreux a des dons de divination? Et ben non, faut pas rêver! Ne le confondez pas avec un magicien de cabaret. Père Noel c’est un vrai métier!
Bon, lettre ou pas lettre, il faut toujours oser demander. Oser dire les choses qui nous tiennent à cœur et ne pas rester sur un : «C’est pas la peine, il le sait déjà !» quand ce n’est pas un : « Laisse tomber j’ai aucune chance». Non je ne parle pas que de votre liste… je parle de tout en gros et en détail. Et entre autre ; de ce mot que vous n’avez pas osé écrire jusqu’à la dernière ligne même en texto et que vous ne lui direz jamais, ni par téléphone ni, ou plutôt encore moins, de vive voix !.. Bon, moi je vous dis ça, c’est pour vous !
Remarquez je vous dis ça, mais ai-je personnellement jamais su demander ? A vrai dire j’ai toujours espéré que les choses se feraient sans rien réclamer ou appeler au secours et … Pas d’bol, elles se sont rarement réalisées spontanément... Mais j’y ai survécu. Un peu triste, un peu bancale, un peu blessé quelque fois, mais vivant. Et je pense que rester à attendre… c’est une erreur, je l’ai commise, je la commets et je la commettrai encore, mais c’est une erreur ! Le proverbe dit: Faites ce que je vous dis et pas ce que je fais... les proverbes ont souvent raison.
Bon revenons à nos moutons. Aujourd’hui, contrairement à la semaine dernière où il faisait beau mais froid; il fait moche. Moche de chez moche mais tiède! Un ciel londonien. Normal il a plu, et quand il pleut en principe, fait pas froid. Vous savez que je commence à m’y connaitre en météo. J’ai des copines à la télé et à la radio, mais promis juré, elles peuvent en témoigner, elles ne me soufflent rien. J’observe c’est tout. Alors, après avoir hésité et malgré ce climat supportable, comme d’ hab, j’ai quand même allumé le poêle.
J’aime cette odeur de bois. J’aime aussi cette douce chaleur, qu’on ne peut comparer à aucune autre chaleur. Bref j’aime… Je vous en parle en insistant, surtout pour ceux qui me suivent religieusement chaque semaine, sinon le passage du poêle dans la chronique va leur manquer. Haaaaa ! Merci de réagir ! Je me suis senti un peu seul sur ce coup !
Et qui dit poêle dit bois. Donc j’ai aussi coupé, non refendu du bois. Ça m’oblige à faire un peu de sport. Enfin une forme très musculaire et éreintante de sport!
Parce que le docteur Cymes a dit : Le docteur Cymes, c’est comme le docteur Kierzek de tf1 mais avec le sourire en plus. Cymes ressemble un peu au docteur House et Kierzek beaucoup au Dr Hawkins (the résident) Vous l’aviez pas remarqué ? Donc le Dr Cymes que j’écoute tous les matins sur RTL a dit qu’il fallait manger des légumes, faire du sport, pas fumer et que la bagatelle était très importante aussi !
Je suis totalement d’accord avec lui sur tous les points. Tous ! Oui tous ! Je précise parce que je sens que vous allez le faire à ma place. Donc je m’oblige à une activité physique qui se voudrait sportive tous les matins, j’ai toujours mangé des légumes, j’aime ça donc je continue, et j’ai arrêté de fumer… et c’est là que le bât blesse.
Et oui bât ! Pas le bas. L’expression vient des harnachements qu’on plaçait sur le dos les bêtes de sommes et qui souvent par frottement intensifs provoquait des plaies…
Donc dans l’expression on ne parle pas des bas. Les Bas ! Qui gainent la jambe dans un souci d’élégance et de séduction et par grand froid pour tenir chaud. Ça c’est ma manière délicate de confirmer l’importance de la dernière affirmation du docteur sur la bagatelle. Mais si c’est là, que le bât blesse, c’est-à-dire là où ça va mal c’est….
C’est….Qu’avant le confinement je me suis astreint à un régime même pas imaginable. Non pas un régime stupide, juste faire très très attention et ça a marché. Et puis le confinement, cet envie de m’arrêter de fumer et hier en dehors de réaliser la catastrophe juste en passant devant les miroirs, je me suis pesé !... Ho misère ! Les miroirs avaient raison et la balance par crainte de me faire de la peine s’était caché les chiffres avec les pattes de devant.
En plus, un copain à qui j’avais fait part de mon état, m’a rajouté un truc à vous donner envie de vous jeter d’un pont sans l’élastique. Il m’a dit : fait gaffe en vieillissant on se tasse.
Alors déjà que je ne suis pas très grand, si en plus je me tasse… Et il avait raison le bougre. Mais bon, c’est pas catastrophique j’ai perdu un cm… Je m’attendais à pire.
Mais arrêter de fumer pour conserver la ligne c’est pas l’idéal. Mais bon, j’y pallierai plus tard. Pour l’instant j’ai arrêté et j’ai pas envie de reprendre.
Donc, bonne nouvelle, le père Noel théoriquement passe quand même cette année. Il passe puisque exceptionnellement le couvre-feu est levé le 24 et reprendra le 25 … Et, dois-je vous préciser, que c’est pour qu’il puisse terminer sa tournée tranquille avant de retourner en Laponie que cet accord secret a été signé? Non, là sur la photo c'est Clo une amie... Jolie les filles Noel cette année! Elle est belge comme Dana dont je vous parlerai un peu plus loin.
Bon je vous laisse méditer sur le premier chapitre et…Tiens, je trouve que cette année de mer... Hein !? Mais non je l’ai pas dit !... est passée très vite. Mais il parait, que plus tu vieillis plus le temps passe au galop! Si si… il parait.
Malgré mon scepticisme coutumier et ordinaire, ce matin soyons un rien plus dogmatique. Oui, je vous l’avoue à contre cœur, mais je vous l’avoue quand même; je ressens cette sensation de temps qui passe plus vite en prenant de l’âge. Donc, ça voudrait dire aussi que je vieillis. Ou peut-être même, puisque je le sens fortement, que je suis carrément déjà un peu vieux ? Non d’une pipe! Le « un peu » c’était pour me rassurer. Hoooo ! Mais c’est pas rigolo c’t’histoire.
Mais quel est l’abruti qui nous a mis en place un processus pareil ? Hein ? qui ? Mais non c’est pas lui….Si ? NOoooon !... Ça c’est un de ses assistants au moment de la création du monde ! Un qui était bloqué devant la machine à café à râler sur les RTT et les frites de la cantoche pendant qu’on débattait du temps relatif et de la notion de temps dans la grande salle des débats. Mais le boss, je suis persuadé que le boss, n’était même pas au courant du phénomène.
Il s’était pourtant bien entouré d’experts avant de nous créer non ? C’est eux qui auraient dû anticiper les réactions de la vitesse d’écoulement du temps ….faut pas non plus lui faire porter tous les chapeaux en permanence. Tu ne peux pas toujours laisser retomber la responsabilité de toutes les aberrations qui nous entourent sur un seul homme. Comment ça c’est pas un homme ? Mais si c’est un homme. J’ai lu dans un fascicule tiré du gros livre que dieu avait créé l’homme à son image. Donc c’est bien que son image ressemblait à un homme. Eh ! C’est pas moi qui l’invente c’est écrit noir sur blanc.
C’est fou ce temps qui passe et qui te semble passer de plus en plus vite juste quand après toutes ces années d’études, d’apprentissage, de galère, de travail acharné, de soucis de tous ordres, enfants, famille et tout le toutim, juste quand tu commences à te sentir libre, tu ressens simultanément quelques courbatures un peu partout et en plus tu prends conscience que le temps qu’il te reste a rétréci comme neige au soleil. C’est terrible. Et en plus, ce petit temps au rabais te donne le sentiment de se faire la belle à tire d’aile. Eh ! Vous savez quoi ? Sur la dernière ligne droite… lâchez-vous ! Vivez au présent et surtout vivez !... N’hésitez plus vivez. Et la prochaine fois que vous croiserez ce mec qui vous fait tant fantasmer ne lui parlez plus du bout des yeux, tirez le par le col et roulez lui une pelle !..
Ah! autre chose. il y a deux semaines je vous parlais d'Elisa Servier et de son extraordinaire talent de peintre en plus de celui de comédienne évidement.
Normalement, elle aurait du retourner sur scène pour le plus grand bonheur des spectateurs et reprendre son rôle dans la pièce: "Bonne Pioche" avec Philippe Risoli, Claudine Barjol, Jean-Philippe Azéma, fin décembre ou au pire mi janvier... Mais si j'en crois les rumeurs : C'est pas gagné!....
Alors comme j'aime beaucoup la comédienne, l'artiste et la femme et qu'elle représente parfaitement les premiers mots de cette chronique; j'ai eu envie de repasser deux photos. Vous étes d'accord? Je m'en doutais alors je repasse. Elisa fait toujours l'unanimité !
Ah! tiens! Un message subliminal!...
J'ai trouvé ce tee-shirt j'ai failli l'acheter et puis je me suis dit qu'il serait sympa d'envoyer sa photo à une amie!... Comment ça, ça se fait pas d'envoyer des messages perso en plein milieu d'une chronique? A mais c'est vrai que ca ne se fait pas. Vous avez raison.
Non non, je vais pas l'envoyer du coup. Surtout que c'est elle, qui m'a dit d'elle, ce qui est écrit sur le tee-shirt alors que moi je le pensais de moi vu que ... Bon oubliez si ca se trouve je vais tomber amoureux... Et c'est pas le moment!
Bon pour ce dernier numéro de l’année… 229 ème épisode de notre
rendez-vous hebdomadaire quand tout va bien, ça en fait des lignes… je voulais aussi vous parler de Nell.
Nell c'est une jeune et jolie chanteuse qui vient d’avoir un bébé le 12 décembre, une merveille de petite fille.
Nell a une très très jolie voix et beaucoup de talent. A mon grand bonheur elle avait posé cette jolie voix sur une de mes chansons hommage à Vladimir Cosma il y a un peu plus d’un an me semble-t-il. Pour l’instant ce projet est encore en projet, mais s’il devait aboutir je ne l’oublierai pas. Elle a aussi, il y a peu, sorti un CD. Mais tout ça est bien moins important que de la savoir « Maman » ! Le plus joli mot du monde avec aimer. Bravo Nell et félicitation.
Puisque j’y suis et parce que beaucoup d'entre vous l’on découverte à travers mes chroniques et ne la quitte plus ; mais quand on y a pris gout c’est tellement difficile de s’en éloigner. Je voudrais saluer une dernière fois… de l’année, Dana Winner.
J’adore et vous le savez, c’est loin d’être un secret. Et je crois que mon amour pour cette artiste est terriblement contagieux… tant pis j’assume.
Ce qui est merveilleux avec cette chanteuse, c’est qu’avec le temps tout se bonifie. Sa voix qui plane tout aussi bien dans les graves, les mediums que les aigus s’est enveloppée d’un léger velours presque imperceptible mais qui rajoute de la douceur à la douceur. Quand à son physique, si à ses débuts dans les années 90 je lui trouvais une vague ressemblance avec lady Di, que dire aujourd’hui du charme qu’elle dégage ?
A souligner qu’elle a obtenu un record d’écoute et de vente en ligne pour la chanson : « One moment in time » mais il faut avouer que son interprétation, qui à mon oreille dépasse largement l’original, est exceptionnelle.
Et puis cette petite belge flamande qui rayonne en Belgique, en Allemagne, aux Pays Bas et en Afrique du sud, a eu le privilège de voir un timbre à son effigie édité par la Belgique. Pas un d’ailleurs, mais trois et ça c’est pas banal !
Ah ! Puisque je parle chansons, je ne pouvais pas tourner la dernière page de cette dernière chronique sans un petit clin d’œil, ou un gros même au diable l'avarice, et un grand salut comme une révérence de mousquetaire à l’adresse d’une belle des champs au cœur de princesse ; Poline de Peretti.
Je suis très fier de cette photo et pourtant, contrairement à l'écriture qui demande des années de travail, pour obtenir un résultat à peu près potable, la photo, en tout cas les miennes, demandent surtout de la chance! Et pour celle-là je reconnais que la chance m'a souri à pleine dents. Tout y est; la couleur, le cadrage, l'esprit et surtout, surtout l'émotion qui s'en dégage. Une émotion qu'elle transmet et qui nous envahit.
Le temps s'est arrêté sur le silence d'une mesure. Elle n'écarte pas les bras elle ouvre son cœur. Le regard ne fixe pas le ciel mais des présences invisibles à nos yeux qu'elle seule ressent. Elle se donne et s'est donnée à fond au point de ne même plus être consciente de ce qu'il se passe entre elle et la salle. Ces gens sont venus par dizaines, ils sont devenus des spectateurs au fil de ses chansons, de sa voix, de sa présence, de son talent et maintenant ils ne forment plus qu'un. Ils sont le public! son public qui la porte en triomphe à bout de bras. Poline c’est mon extraordinaire rencontre professionnelle de l’année. Il est des rencontres comme ça qu’on n’imaginait plus et puis… c’est les grands mystères de la vie. Et puis au fil du temps... je dis ça pour les autres, mais c'est un joli mensonge, parce qu'en réalité ce fut immédiat, elle est devenue une amie.
Ah ! Dernière info ! Mon prochain roman est terminé depuis déjà quelques mois mais ce métier a aussi ses aléas surtout dans la période compliquée que nous traversons. Je suis désolé pour tous les lecteurs qui l’attendent et le réclame. D’ailleurs, franchement, j’en suis très flatté et merci encore. Pas d'inquiètude, ça va venir Faute de quoi j’y pallierais ! Et encore merci. Merci pour votre gentillesse et votre incroyable fidélité, merci.
Théoriquement la couverture ressemblera à la photo de gauche... Pour le reste; tout est prêt, y'a plus qu'a.. Le titre? au départ il s'intitulait "Sam et Garance" mais à l'arrivée... si "Sam et Garance" apparaitra en petit, c'est un autre titre qui... allez la encore un peu de patience.
Tout a l’heure, ou juste un peu plus avant dans le texte, je vous parlais de mon poêle mais y’a longtemps, j’aimais beaucoup les cheminées ouvertes avec ce bois qui chante sous la caresse et les morsures des flammes… D’ailleurs, sur un grand tapis, à poils épais confortables et douillets, qui coulait du pied d’un canapé vers ce foyer ouvert, tout juste éclairé par ses flammes, j’ai de superbes souvenirs.
Et quand je dis tous justes éclairés, je devrais dire tous justes habillés. Habillés de la soie rouge des reflets de ses flammes et de leurs caresses sur le grain de nos peaux brulantes. Une chaleur suave qui nous enveloppait pour nous entrainer vers des ailleurs de rêves. Des rêves devenus sublimes réalités qui ne laissaient que peu de place au sommeil. Mais avions-nous besoin de dormir ? Oui, par moment, comme un repos mérité pour aller, vers cet inconscient naturel, sentir mieux encore la chaleur de l’autre se mêler à la nôtre dans un calme serein, en attendant la suite.
Ainsi Va la vie…
Williams Franceschi
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