Articles et chroniques

Juste un petit mot… en espérant que vous allez bien malgré cette chaleur qui dépasse l’entendement et ce n’est qu’un début… Alors quelques nouvelles et quelques requêtes ! Ne m’en veuillez pas, surtout si vous n’êtes pas concernés.

La première requête : Ne m’écrivez plus par Messenger ! INTERDIT ! Sauf pour des causes importantes… C’est gentil de m’envoyer des fleurs pour me souhaiter un bon mardi, jeudi ou ce que vous voulez, mais ça me fait perdre un temps fou… rien qu’en ce début de semaine j’en ai reçu 48.. Donc arrêtez parce que je ne répondrai plus.

Deuxième requête : Ne commentez pas mes publications avec des GIF. J’ai horreur de ça. J’accepte les petits émoticônes pas les GIF. Et puis la langue française est suffisamment belle et explicite pour éviter de revenir vers les hiéroglyphes ! Non ?  

Troisième requête : certains artistes, ou les parents de jeunes artistes en herbes me vouent des pouvoirs que je n’ai pas. Si je connais un peu ou beaucoup de monde, je ne pistonne jamais et lorsqu’il m’arrive parfois de parler de talents à des amis, et de  pousser un poil le bouchon, je commence d’abord par écrire sur eux. Ce qui prouve que je les ai découverts de mes yeux ou de mes oreilles. Mais je pense n’avoir  aucune influence sur qui que ce soit. Et depuis toujours je ne demande jamais rien…même pas pour moi. Je devrais même dire encore moins pour moi.

A part ça, j’aurais dû retourner au festival d’Avignon où je me suis rendu vite fait non pas pour découvrir des spectacles mais pour modifier des dialogues dans une  pièce à laquelle j’ai modestement, très modestement collaboré. Juste parce qu’un rôle tenu à l’origine par un homme va l’être par une femme… et que les mots, que l’on met dans la bouche d’une femme sont loin d’être les mêmes que dans celle d’un homme. Et l’égalité homme femme, s’il vous plait,  n’a rien à voir la dedans.

Donc,  sauf vent contraire, je n’y retournerai pas… Et puis  franchement… il fait trop chaud…. Vraiment Trop chaud…

Et en plus, mais je vous en avais déjà parlé, si j’adore le festival par lui-même et son extraordinaire folklore,  la face cachée de ce plus grand festival de théâtre du monde est, ne le cachons pas,  un miroir aux alouettes pour un grand nombre de compagnies qui termineront le festival surtout criblées de dettes à payer sur plusieurs années  et ça …ça me désole.

Néanmoins et puisque je ne pourrais pas vous en faire la rétrospective si d’aventure vous ! Vous y allez et que 

vous aimez la musique je vous conseille : La vie au bout des doigts de et avec Valérie Marie et Cédric Chapuis. Valérie a un talent fou. Nous avions écrit ensemble une chanson sur Vladimir Cosma… je n’ai pas vu son spectacle, mais connaissant l’artiste, ça ne peut être qu’excellent. Vous me direz. 

C'est à 15h25 au THÉÂTRE DES LUCIOLES

10, rue du rempart St-Lazare

Avignon

Durée : 1h20 jusqu'au  30 juillet - Relâches : 13, 20, 27 juillet

Pour tout vous dire et terminer sur un note amusante ; on m’a commandé un texte. Jusque-là rien ni d’extraordinaire ni de nouveau. Sauf que c’est un texte sur : Les anges Gardiens. J’ai éclaté de rire. Un rire qui s’est transformé en fou rire. Et plus j’essayais de me retenir et de reprendre mon sérieux, plus je riais. Rien que d’y penser au moment où je vous écris, je sens un sourire se dessiner sur mes lèvres. L’éditeur, qui est d’ailleurs une éditrice, a d’abord cru que je me foutais carrément… et puis… non elle a bien compris que cette excitation bruyante et étouffée à la fois, de mes zygomatiques, étaient incontrôlables et que sa demande  devait certainement me ramener  vers un souvenir.

En plus, je m’y connais un peu en ange gardien… Allez savoir pourquoi ? J’ai une trentaine de pages à pondre mais il est possible que j’en pompe quelques-unes pour vous les offrir dans une prochaine chronique… si l’éditeur me l’autorise…

Bon, je vous embrasse, à très vite et surtout pensez à boire !  (De l’eau… c’est mieux !)

Amitiés

Williams