Ainsi Va la Vie… épisode n°210… Mes coups de cœur… Ma fée… et le nom de ma maitresse !... Noonn !!!...Siiii !!!
Non, je ne vais pas vous pondre une chronique très journalistique.. Non, juste une bafouille relax entre vous et moi. Enfin vous, vous commencer à être un énorme paquet ! Ce qui fait que je m’inquiète un peu en écrivant ces chroniques très décontractées, en plus avec une fée qui n’a pas sa langue dans sa poche, je m’inquiète que certains nouveaux arrivants ne me prennent pas vraiment au sérieux !
Mais par les temps difficiles que nous traversons, si en plus je vous sors un truc sur la tristesse, la solitude ou les chagrins d’Amour comme dirait mon amie Bernadette : « ça va pas l’faire ». Alors donc…
– Hé ! C’est moi qui n’aie pas ma langue dans ma poche ?
– Heu !... Oui, un peu.
– Normal !... j’ai pas d’poches ! Et c’est parce que t’as une petite fée sur l’épaule que ça te laisse à penser que tes nouveaux lecteurs ne te prendraient pas au sérieux ? Tu dois assumer l’impensable comme l’impalpable.
– J’assume, j’assume…Mais ils risquent quand même de me prendre pour un doux illuminé.
– Illuminé, illuminé !? Un illuminé qui écrit des livres, des articles, des chansons… normal que tu sois illuminé. T’as de la lumière à tous les étages. Et c’ est pas le cas de tout le monde… non meuh ! Tu veux que j’te dise ?
– Dis toujours.
– C’ est pas que tu aies une fée sur ton épaule qui risque d’en surprendre certains. C’est juste qu’ils aimeraient bien en avoir une aussi ! Une petite fée…Une comme moa… Na na na ! Y sont jaloux un point c’est tout… c’est tout !
– Y sont simplement sceptiques !
– Sceptiques de quoi ?
– Sur l’existence des fées.
– Meuh non, y sont pas sceptiques. Ils le savent bien que les fées ca existent. Y sont jaloux ! Un point c’est tout. Pas tous d’ailleurs, parce que dans tes lecteurs y’en a plein qui m’ AIMent.. Et qui m’aiment très très beaucoup. Alors pour deux abrutis qui doutent… j’ vais pas disparaitre, j’te f’ rais dire ! Non Meuh l’aut’.
– Ok ok… on n’en parle plus !
– Tant mieux !
– Je ne dirais plus rien sur toi.
– Si !... mais pour l’instant :… écris !
– Ok, j’écris. Et j’ecris quoi ?
– C’est ta chronique… tu te dém… brouille pour rester polie !
– Ok j’y vais
Depuis le début de l’année je vous ai présenté quelques artistes que vous connaissiez peu ou pas. Et j’ai eu trois coups de cœur :
Le premier c’était pour Dana winner. Chantal de son vrai prénom, extraordinaire chanteuse belge que j’admire depuis…j’ose pas vous donner la date, et qui poursuit une très belle carrière mais reste trop peu connue en France et c’est bien dommage.
La seconde c’était Poline de Peretti. Toute en sourires, le cœur dans la gorge et de l’émotion plein les yeux sur chaque note, chaque mot, chaque échange. Sensible du bout des ongles à la pointe des cheveux. Elle transmet avec un incroyable naturel sa merveilleuse générosité. Poline, qui nous a offert tout au long de ce confinement de superbes « Live » chaque fin d’après-midi, devant le succès constant et grandissant de ses shows quotidiens va renouveler l’expérience dans une version hebdomadaire chaque vendredi à 17h45. Un bonheur.
La troisième c’était Sonia Morlet dont le clip de la chanson : « Encore » ne vous a pas laissé indifférents et m’a littéralement ébloui ! Et pour m’éblouir… il en faut beaucoup, beaucoup, beaucoup….. Mais Sonia, je l’ai déjà écrit, à tout ; du charme au talent… l’avenir parlera mieux que moi j’en suis convaincu.
Si je vous reparle aujourd’hui de ces artistes, surtout de Sonia et Poline, c’est que mes petits articles ; qu’ils soient : Coup de Cœur à… ou autres ont atteint un nombre fabuleux de lectures et de partages. Ça ne fait ni un record ni le buzz restons modestes mais en matière d’articles, on franchit rarement ces sommets… pour le fun ou le plaisir de le dire ; on a eu quand même quelques reprises des articles aux Etat Unis, au japon, au Brésil et j’en passe … Non ce n’est pas ma plume que les lecteurs ont plébiscités mais les deux artistes et ça… Ça me touche !
J’espère juste que le petit souffle du bout de ma plume sur l’eau claire de leurs immenses talents, d’ondes en ondes, comme l’effet papillon, aille de vagues en vagues grandissantes au-delà de l’imaginable.
Bon ! On passe à autre chose ? je m’émeus tout seul !
Cette semaine on a préparé du saumon ! Et t’as vu la transition de chez transition ? … quand je dis « on », rendons à César ce qui appartient à Pascaline ; « elle » a préparé du saumon ! et..
– D’élevage ?
– Non pas d’élevage. D’abord je le trouve trop gras et depuis que j’ai vu comment ils étaient élevés et ce qu’on leur donnait à manger, j’en achète plus ! Enfin si, mais je n’achète que du saumon frais péché !
– Et tu l’as fait avec quoi ton saumon pas d’élevage ?
– Avec des carottes et des petits poids frais achetés au marché et ça c’est moi qui l’ai préparé… Mais tu vas intervenir sur chaque phrase ou c’est juste une fois ?
– Non non je me tais !!! Écris… écris !
– Merci ! Et cette semaine j’ai aussi cuisiné de grosses crevettes…
– Des gambas ?
– Non de grosses crevettes.
– C’est exactement pareil !
– Ah bon !
– Oui môssieur ! Gambas est une désignation commerciale utilisée en France et d’origine espagnole pour désigner une grosse crevette qui mesure entre 15 et 20 cm.
– Si tu le dis, je veux bien te croire. Sauf que mes supposées gambas ne mesuraient pas 15 cm. 10.. 12 tout au plus. Donc ce sont de simples grosses crevettes.
– Ou de petites Gambas… et l’aut’
– Bon j’écris ou tu interviens encore ?
– Non j’interviens plus… sauf que tes lectrices sont bien contentes de savoir que gambas et grosses crevettes c’est…
– Kif-kif bourricot !... Bon, je peux écrire ?
– Personne t’empêche… Mal poli !
– Du coup, je sais plus où j’en étais…
– Tu parlais cuisine !
– Donc, j’ ai cuisiné de petites Gambas et…. Ah ! Oui…. ce matin j’ai cueilli des cerises.
– Y’en n’a pas beaucoup !
– Y’en avais beaucoup mais…
– Les oiseaux ont tout becté… avant toi.
– C’est un peu ça ! Mais regarde comme elles sont belles. J’ai ramassé des fraises aussi. J’en ramasse tous les jours.
– Les oiseaux aussi, ils en ramassent tous les jours de tes fraises. Heureusement que t’en as plantées partout sinon…
– Mais c’est pas grave… j’aime bien les oiseaux
– Donc, si on résume ; tu plantes un peu pour eux..
– Et bien… à bien y réfléchir… je crois qu’inconsciemment c’est possible!...
– Tu es très partageur !... Pour les fruits j’entends.
– Qu’est-ce que ça sous-entend ?
– Rien ! Ta générosité est légendaire…
– C’est gentil ! Mais t’en f’rait pas un peu des tonnes là ? T’as quelque chose à te faire pardonner ou ?....
– Pas du tout…C’est sincère ! j’t’ai même pas parlé de ton mannequin ! Hein ? J’en n’ai pas parlé ?
–……..
– D’ailleurs, en parlant partage et générosité, tu avais écrit une chanson qui s’intitulait : « Elle me partage ».
– Oui… c’est possible, j’me rappelle plus… c’était y’a longtemps. Et puis c’est pas le sujet du jour !
– T’façon… t’en avais pas de sujet du jour…
– Mais si !
– Meuh non !
– Mais si !
– En plus il est d’une mauvaise foi…. Bouuuuu !! Tu voulais juste blablater avec tes lecteurs… qui sont en majorité des lectrices.. J’te f’rais dire !
– Dis, tu voudrais pas retourner à Brocéliande le temps de ma
chronique ?
– Peux pas… y’a plus de 100 kilomètres…
– Ha ! Parce que ça s’applique aux fées ? L’histoire des 100 bornes…
– Non ! Mais y’a pas de raisons que je profite de mon statut de fée pour détourner la loi à mon avantage… Moa !
– Pourquoi moi ?
– Non mais ton mannequin… elle est pas loin et… ! Elle est vach'ment...
– Y’a pas de mannequin !.. Combien de fois il faudra que je te le dise.
– Menteur!... Alors, Y’a pas une autre femme dans ta vie ?
– Si !
– Non ?
– Si… J’ai une maitresse ! Comme ça tu sais et tu me laisses tranquille.
– Gloup !!
– Oui ! Gloup !!
– Et sans indiscrétion … comment elle s’appelle ?
– Mais c’est très indiscret petite fée !
– Je sens que je vais retourner à Brocéliande…
– J’ai une maitresse qui occupe mon esprit jour et nuit !
– Ca ! C’est pas gentil de me le dire… comme ça ! D’un coup et devant tout le monde en plus ! Et tu l’aimes ?
– Pire, j’en suis fou ! J’en suis même accro.
– Même pas vrai !
– Si c’est vrai !
– Elle est belle en plus !? Je présume ?
– Elle a tout. La beauté, le charme, l’élégance, l’intelligence … le rêve !
– Meuh… j’en étais sure ! Et tu la connais depuis longtemps.
– Très longtemps. Très très longtemps.
– En plus.
– On s’est rencontré tout jeune.
– T’avais quel âge ?
– Treize ans.
– Waouhhh !!!
– Et tu l’as aimée tout de suite.
– Oui et non… Nous n’étions pas issus du même milieu. Je la regardais avec des yeux embués de crainte et de timidité. Alors…
– Alors ?
– Très vite, par bêtise, par ignorance, j’ai regardé l’horizon et je suis parti sans me retourner.
– Pourquoi ?
– Elle n’était pas pour moi.
– La réalité de mon quotidien, de mon milieu social, ne pouvait rien espérer d’un Amour impossible.
– Tu as préféré fuir que te battre.
– Un peu ! C’était, comme l’a si bien écrit Brel, l’inaccessible Etoile.
– Et elle ?
– Elle … elle a toujours été là. Les jours de grand soleil et même les matins froids qui vous gercent les lèvres et vous rougissent le bout de doigts. Dans la lumière des réussites ou dans la douleur des coups durs, des coups bas, des larmes qu’on cache sous d’inutiles lunettes.
– Alors tu l’as revue ?
– Je n’ai jamais cessé de la voir sans jamais oser l’approcher. Et puis un jour…
– Tu t’es décidé.
– Mais il a fallu apprendre à se connaitre. Au début on s’est simplement observés… Et puis, on a flirté en pensant que ça ne pourrait jamais être sérieux et puis, on s’est séparé. On a aimé autrement, ailleurs, autre chose et les années sont passés.
– Elle t’avait oublié.
– J’ai cru. J’ai cru.
– Et toi ?
– J’ai mis ma passion en sommeil pour d’autres passions. J’ai vécu.
– Et tu ne l’as jamais oubliée.
– Sa présence m’a permis de vivre ou de survivre au pire. Et comme la vie ne m’a pas toujours fait de cadeaux, j’ai préféré lui éviter les douleurs de certains parcours qu’il vaut mieux souffrir seul que subir à deux.
– Et aujourd’hui tu la revois ?
– On ne s’était jamais oubliés. On se croisait, on se frôlait, j’adorais son parfum et la douceur de sa peau.
– Et elle ?
– Elle, pour aboutir elle demandait, beaucoup beaucoup de patience. Elle disait qu’il fallait énormément de temps pour être sûr et encore.
– Et tu as choisi … de finir ta vie avec elle ?
– J’en ai toujours rêvé. Et aujourd’hui oui, sans faire un vrai bilan, sans chercher à rattraper le temps qui n’est jamais perdu… je sais !
– Et son nom ?… son prénom ?… son surnom ?
– Ho ! Il est simple. Je l’appelle gentiment : « Ma plume » mais son vrai nom c’est : « L’écriture ». Presque en un seul mot.
Ainsi Va la Vie
Williams Franceschi
Pour info!
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